L'actrice américaine est revenue sur l'époque où le nouveau président des Etats-Unis était "fou" d'elle et commentait avec acidité sa relation avec Robert Pattinson.
Donald Trump obsédé par Kristen Stewart ? C'est ce qu'a affirmé l'actrice en revenant sur une série de tweets postés en 2012 par celui qui allait devenir le 45e président des Etats-Unis. La jeune femme de 26 ans a fait cette révélation ce vendredi dans le cadre du festival du cinéma indépendant de Sundance, en commentant au magazine Variety les messages écrits à l'époque par le businessman. Celui qui était alors le présentateur de l'émission de téléréalité The Apprentice lui reprochait vertement son infidélité avec son partenaire de l'époque, Robert Pattinson.
"Il était fou de moi il y a quelques années, complètement obsédé par moi il y a quelques années, c'était totalement dingue", a insisté la star de la saga Twilight.
Entre octobre et novembre 2012, l'homme d'affaires désormais devenu président des Etats-Unis avait en effet posté cinq tweets sur le jeune couple doré d'Hollywood, dans lesquels il reprochait à Kristen Stewart d'avoir trompé son compagnon.
"Robert Pattinson ne devrait pas reprendre Kristen Stewart", avait-il ainsi tweeté le 17 octobre: "Elle l'a trompé comme une chienne et elle va recommencer, il suffit de regarder, il peut trouver mieux !"
Le jour suivant, il avait poursuivi en s'affirmant "100% certain" que la comédienne tromperait à nouveau son partenaire: "Ai-je parfois tort ?", assénait-il. Le 22 octobre, dans deux derniers tweets, Donald Trump implorait l'acteur de "balancer Kristen Stewart":
Le couple d'acteurs était resté ensemble jusqu'en mai 2013, un mois après le dernier tweet de Donald Trump adressé à l'actrice, dans lequel il lui souhaitait "bon anniversaire".
"À cette époque, il était seulement, disons, une star de la télé réalité. Je ne savais pas qui c'était. Ce n'était pas quelque chose de vraiment important", a ajouté Kristen Stewart. "Mais ensuite, quelqu'un m'a rappelé tout ça, et c'était juste, "oh mon Dieu, tu as raison!".
Nawal Bonnefoy avec AFP