Pour André Chassaigne, président du groupe GDR : "Il faut la conduire à fond cette campagne, parce qu’il y a des problèmes graves qui se posent".
Même avis pour Philippe Vigier, président du groupe UDI : "J’estime qu’il faut que l’unité nationale soit au rendez-vous, mais pour autant, les problèmes économiques et sociaux restent" explique le chef de file de la droite et du centre en Centre-Val-de-Loire.
Le PS "reprendra sa campagne après l’hommage national" explique Hugues Fourage, le porte-parole du groupe SRC qui parle d’un "élément de décence". L’hommage national aura lieu vendredi 27 novembre.