Dans l’émission « Touche pas à mon poste ! », Marion Maréchal a expliqué pourquoi elle s’opposait à la promotion du ramadan dans l’espace public.
Vendredi 15 mars, Marion Maréchal était l’invitée de l’émission Touche pas à mon poste !, dans laquelle elle est revenue sur ses propositions pour limiter l’islamisation de la France et de l’Europe. « Ma question est totalement neutre », a lancé le chroniqueur Gilles Verdez, avant de préciser : « Je suis musulman et mon prénom musulman est Souleiman. » Ce dernier lui a demandé pourquoi elle souhaitait interdire la publicité commerciale sur le ramadan dans l’espace public.
Dans Valeurs Actuelles elle déclare
« Pour moi, le ramadan, c’est le baromètre de l’islamisation de la société française », a lancé la tête de liste de Reconquête aux élections européennes. « Depuis lundi, on vit à l’heure islamique : France 2 fait sa grande nuit du ramadan, des publicités partout, le maire de Lyon qui arrête les travaux pour… etc. », a expliqué Marion Maréchal. Selon elle, cette fête islamique est « omniprésente » et elle ne souhaite pas « que le ramadan devienne une fête française comme Noël ou Pâques, car [elle est] attachée à une certaine idée de l’identité française ».
Elle a également assuré que ce phénomène a des conséquences bien concrètes sur la vie des gens. « Il y a une pression de cette charia alimentaire dans certains quartiers et certaines écoles, des Français sont agressés car ils mangent, boivent ou servent de l’alcool pendant le ramadan. »
Le ramadan, une fête. Depuis 2001, l'hôtel de ville de Paris célèbre chaque année le début du ramadan. Cette année, Anne Hidalgo maintient cette tradition instaurée par son prédécesseur Bertrand Delanoë, et qui soulève chaque année son lot de protestations.. À la mairie le discours est le même chaque année. Un porte-parole de l'hôtel de ville précise à Metronews qu'il s'agit d'une soirée "artistique et festive, qui relève d'une initiative culturelle et non cultuelle. Nous organisons des réceptions à l'occasion de Noël et de Hanouka également".
Il y a huit ans déjà, Anne Hidalgo avait affirmé que le ramadan était une fête. Tollé de protestation.
Le journaliste Manuel GOMEZ avait fustigé la maire de Paris en 2016. Une véritable leçon de culture et d'histoire. Né à Alger, le journaliste affirmait " On peut être Maire d’une capitale comme Paris tout en présentant de larges déficiences culturelles sur certains sujets. Sa déclaration n'est qu'un monument d'erreurs. Le manque de curiosité et l'inculture des religions alliées à la bêtise, à l'à-plat-ventrisme donnent un résultat totalement renversant et insultant ! ".
La qualifiant de lécheuse de babouche, Manuel Gomez décrivait trois erreurs grossières dans cette simple petite phrase destinée à satisfaire les représentants des musulmans de France, qu’elle recevait en grande pompe à l'hôtel de ville.
Bien au contraire, il s’agit d'une épreuve pénible imposée par le Prophète à ses croyants afin de tester leur fidélité : jeûne total, abstinence sexuelle et étude du Coran durant toute la journée (les manquements étant très sévèrement punis, jusqu'à la peine de mort). Cela n'a rien d'une fête. La fête suit dès la fin du ramadan car, justement, c'est une fête qu'il soit enfin terminé, il s'agit alors de l'Aïd el- Fitr et cette fête peut même durer jusqu'à trois jours.
Mme Hidalgo imagine-t-elle une seule seconde que l’occupation de la France du Sud, avec ses pillages, ses razzias, ses paiements de rançons, son exploitation systématique au bénéfice du califat, son esclavage (sexuel pour les femmes et économique pour les jeunes
hommes qui étaient châtrés afin de pouvoir ni "forniquer" ni se reproduire), etc., permettrait un jour d'inscrire cette période néfaste au patrimoine culturel de notre pays ?
Effectivement, que les fidèles musulmans pratiquent le ramadan ne contrecarie en rien la laïcité, tout comme les juifs et les chrétiens qui célèbrent leurs fêtes religieuses. Mais quand la pratique de la religion musulmane nous oblige à la subir contre notre volonté, la laïcité est attaquée.
►Quand on ne veut pas que les femmes soient soignées par des médecins hommes.
►Quand on exige des horaires spéciaux dans les piscines ou salles de sports.
►Quand on exige des menus « halal » dans les cantines des crèches et des écoles.
►Quand on porte le « voile » dans l’unique but de provoquer, justement, les lois laïques.
►Quand on demande que l’on offre des églises pour en faire des mosquées.
►Quand on débaptise des fêtes chrétiennes et que l'on supprime le mot «saint » sur les médias télévisés et que l'on souhaite également le supprimer dans le nom de nos communes.